Comme d’habitude, je vais vous dire « regardez Arte », et bien sûr quand je verrai les résultats des audiences, je passerai ma journée à me demander si les trois téléspectateurs branchés sur la chaîne franco-allemande sont mes trois lecteurs !
Sûrement que oui.
Je vais donc vous dire « regardez Arte », et pas uniquement parce que les autres programmes sont nuls… non parce que dîtes-vous bien que l’Effaceur [France 3 ; 20h35] énième aventure d’un Schwarzie surarmé et au faciès aussi expressif qu’une bande de papier de verre est sûrement ce qui sort le plus du lot… exception faite peut-être du surprenant Agents Secrets [NRJ12 ; 22h25], du brillant Schoendoerffer fils, qui distille une histoire d’espionnage qui n’aurait pas déplu à Alfred (Hitchcock évidemment) , avec une sacrée poursuite à fond la caisse que John (Frankenheimer évidemment) n’aurait pas renié, le tout avec la classe et la sobriété du film français noir des années 50, les barbouzes en moins, la couleur en plus. Un manque de rythme, et la froideur entre les héros (Cassel et Bellucci pourtant) gâchent un peu…
Toujours est-il que c’est sur Arte que ça se passe.
Faut-il décrire le cinéma d’Eastwood ? Faut-il reprendre le traitement du Sud américain par Hollywood ? Deep South, Dirty South… une pesanteur coloniale alanguie, sur la véranda de la maison à colonnes ? Faut-il se délecter d’un salaud de riche accusé de meurtre, coupable de déviances plus ou moins répréhensibles ?
Voilà résumé sans l’être Minuit dans le Jardin du Bien et du Mal [Arte ;20h45]. Son titre seul se délecte. Ses deux heures trente aussi.
Sûrement que oui.
Je vais donc vous dire « regardez Arte », et pas uniquement parce que les autres programmes sont nuls… non parce que dîtes-vous bien que l’Effaceur [France 3 ; 20h35] énième aventure d’un Schwarzie surarmé et au faciès aussi expressif qu’une bande de papier de verre est sûrement ce qui sort le plus du lot… exception faite peut-être du surprenant Agents Secrets [NRJ12 ; 22h25], du brillant Schoendoerffer fils, qui distille une histoire d’espionnage qui n’aurait pas déplu à Alfred (Hitchcock évidemment) , avec une sacrée poursuite à fond la caisse que John (Frankenheimer évidemment) n’aurait pas renié, le tout avec la classe et la sobriété du film français noir des années 50, les barbouzes en moins, la couleur en plus. Un manque de rythme, et la froideur entre les héros (Cassel et Bellucci pourtant) gâchent un peu…
Toujours est-il que c’est sur Arte que ça se passe.
Faut-il décrire le cinéma d’Eastwood ? Faut-il reprendre le traitement du Sud américain par Hollywood ? Deep South, Dirty South… une pesanteur coloniale alanguie, sur la véranda de la maison à colonnes ? Faut-il se délecter d’un salaud de riche accusé de meurtre, coupable de déviances plus ou moins répréhensibles ?
Voilà résumé sans l’être Minuit dans le Jardin du Bien et du Mal [Arte ;20h45]. Son titre seul se délecte. Ses deux heures trente aussi.
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