Le choix réside-t-il dans la diversité ? La question est posée (et a le mérite de nous laisser croire un instant qu’on peut réviser le bac de philo avec son programme télé). Parce que tout commence avec Père et Maire [TF1 ; 20h45] la série à peine inspirée de Don Camillo, et l’épisode n°1 de la saison 6 (sachant que TF1 a déjà diffusé le n°2 de la saison 7, et que l’un des acteurs principaux et créateurs de la série est décédé entre les saisons 5 et 6, on comprend aisément que c’est l’épisode à ne pas louper pour ne pas perdre le fil !) On poursuit avec FBI : portés disparus [France 2 ; 20h35] pour un épisode inédit suivi immédiatement d’un réchauffé : idéal quand on doit se coucher à 21h20 ! On pourrait continuer avec Van Helsing [TMC ; 20h40] chasseur de vampires très XIXème à l’origine, transformé en super héros latex et chapeau mou ultra bien gaulé, ou Cocktail [W9 ; 20h35] où Tom Cruise alias Brian Flanagan apprend à devenir un bon barman, ou pire que tout voir encore mieux, American Warriors [NRJ12 ; 20h35] le film qui insulte tous les films d’action sans faire exprès.
Quelques documentaires sauvent la mise. Des animaux et des stars [Gulli ; 20h35] n’est pas de ceux-là avec son reportage « Meg Ryan et les éléphants blancs » dont le titre à lui seul fait peur pour les fans de Meg et de Dumbo. Enfants Martyrs [France 3 ; 20h35] est nettement moins glamour, mais se veut nettement plus percutant : chiffres, témoignages, cicatrices, enquêtes, reconstitutions… tout illustre le calvaire de quelques 19000 enfants en France. Quant à M6, on y met les petits plats dans les grands avec le prime d’Un Dîner presque parfait [M6 ; 20h40] une émission presque parfaite qui laisse toujours sur sa faim… [Ndlr : je n’ai pas pu m’empêcher].
Arte sort du lot (comme souvent, me dira-t-on). Tueurs de dames [Arte ; 202h45] est une de ces vieilles comédies britanniques grinçantes pleines d’humour noir, de facéties, et de burlesque. Une vieille dame loue sa cave à un professeur renommé afin qu’il répète un spectacle avec ses musiciens, alors que ces derniers préparent le casse du siècle. Depuis les fabuleux frères Coen en ont fait un remake plutôt sympathique en 2003, information qui à elle toute seule, est un gage de qualité.
Les deuxièmes parties sont moroses. Ceux qui auront raté Amour & Amnésie [France 4 ; 22h20] parce qu’ils ne lisent pas ce blog depuis ses débuts, pourront se rattraper.
Et tard dans la nuit, en troisième partie de soirée : surprise ! A la dérive [TF1 ; 2h50] de Guy Ritchie ! Rappel des épisodes précédents : Guy Ritchie réalisateur de génie (Arnaques, crimes et botaniques ; Snatch) épouse Madonna, (et c’est d’ailleurs aujourd’hui dans le cadre de leur divorce que sera décidée la garde de leur fils Rocco) et il la fait tourner dans A la dérive, remake d’un ovni italien intitulé « Vers un destin insolite, sur les flots bleus de l'été » ce qui, est suffisamment évocateur. A la dérive est un bide monumental (mais Guy Ritchie fit bien pire ensuite avec Revolver, film dont j’adore l’esthétique mais auquel je n’ai toujours rien pigé), mais j’ai un amour incroyable pour lui, car la même œuvre filmé à l’économie et avec un air plus pseudo intellectuel voire Comédie Française, et on crierait facilement au chef d’œuvre… oui oui, je vous jure !
Quelques documentaires sauvent la mise. Des animaux et des stars [Gulli ; 20h35] n’est pas de ceux-là avec son reportage « Meg Ryan et les éléphants blancs » dont le titre à lui seul fait peur pour les fans de Meg et de Dumbo. Enfants Martyrs [France 3 ; 20h35] est nettement moins glamour, mais se veut nettement plus percutant : chiffres, témoignages, cicatrices, enquêtes, reconstitutions… tout illustre le calvaire de quelques 19000 enfants en France. Quant à M6, on y met les petits plats dans les grands avec le prime d’Un Dîner presque parfait [M6 ; 20h40] une émission presque parfaite qui laisse toujours sur sa faim… [Ndlr : je n’ai pas pu m’empêcher].
Arte sort du lot (comme souvent, me dira-t-on). Tueurs de dames [Arte ; 202h45] est une de ces vieilles comédies britanniques grinçantes pleines d’humour noir, de facéties, et de burlesque. Une vieille dame loue sa cave à un professeur renommé afin qu’il répète un spectacle avec ses musiciens, alors que ces derniers préparent le casse du siècle. Depuis les fabuleux frères Coen en ont fait un remake plutôt sympathique en 2003, information qui à elle toute seule, est un gage de qualité.
Les deuxièmes parties sont moroses. Ceux qui auront raté Amour & Amnésie [France 4 ; 22h20] parce qu’ils ne lisent pas ce blog depuis ses débuts, pourront se rattraper.
Et tard dans la nuit, en troisième partie de soirée : surprise ! A la dérive [TF1 ; 2h50] de Guy Ritchie ! Rappel des épisodes précédents : Guy Ritchie réalisateur de génie (Arnaques, crimes et botaniques ; Snatch) épouse Madonna, (et c’est d’ailleurs aujourd’hui dans le cadre de leur divorce que sera décidée la garde de leur fils Rocco) et il la fait tourner dans A la dérive, remake d’un ovni italien intitulé « Vers un destin insolite, sur les flots bleus de l'été » ce qui, est suffisamment évocateur. A la dérive est un bide monumental (mais Guy Ritchie fit bien pire ensuite avec Revolver, film dont j’adore l’esthétique mais auquel je n’ai toujours rien pigé), mais j’ai un amour incroyable pour lui, car la même œuvre filmé à l’économie et avec un air plus pseudo intellectuel voire Comédie Française, et on crierait facilement au chef d’œuvre… oui oui, je vous jure !
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