Dans Day Break, l’inspecteur Brett Hopper file un mauvais coton toute la journée et vu que la journée est longue, il se retrouve dans de beaux draps ! Le temps de sauver une petite dame au petit déjeuner, il se fait arrêter pour le meurtre d’un assistant du procureur, on retrouve l’arme du crime chez lui dans sa penderie, et l’ex-mari de sa copine Rita (son méchant collègue Chad Shelten au sourire narquois et bellâtre qui bosse pour la Police des Polices, genre très agréable le Monsieur) s’en donne à cœur joie pour lui taper sur les doigts (et sur le crâne). Tout est bien ficelé : une cellule l’attendra dans un pénitencier du coin, peut-être même une chaise électrique… Bien entendu avec l’effet de surprise, l’inspecteur Brett Hopper n’a pas le temps de réagir, il se débat comme il peut, s’agite dans tous les sens et se retrouve rapidement avec son uniforme orange de prisonnier qui ne lui sied pas aussi bien que ses streetwears.
Sauf que Brett Hopper ne va pas finir sa journée en prison. Non ! le complot qui lui est tombé sur le coin de la tête est bien plus compliqué. Et puis surtout, il ne va pas finir sa journée du tout.
Sur le canevas d’Un Jour sans fin de Harold Ramis (1993), Brett s’apprête à revivre tous les jours la même journée, et une fois passée cette seconde surprise, il pourra s’attaquer à tous les petits détails du jour recommençant laissés ça et là par le Petit Poucet de scénariste dès les cinq premières du pilote ! Le tout en évitant de se faire tuer car les blessures de la veille sont celles du lendemain, même si le lendemain n’est autre que le même aujourd’hui qu’hier ! Armé d’un forfait sms conséquent (qui lui permettra de tenir tous les acteurs de sa journée à leurs places) et d’un téléphone portable à la batterie fatiguée, Brett trouvera-t-il le temps de souffler un peu ?
Parce que la série, elle, elle semblera vite s’essouffler, Brett passant au crible, ses amis, ses parents (vivants et morts), ses collègues, et des types louches en bas de la rue ! Las, il va vite se rendre compte que son replay quotidien peut modifier le présent !
Le terrible avantage de cette série repose paradoxalement sur son interruption aux USA quelque part entre le sixième et le septième épisode. Du coup les treize rendez-vous de la série Day Break se suffisent à eux-mêmes et disposent d’une véritable (quoique relative et précipitée) chute.
Sauf que Brett Hopper ne va pas finir sa journée en prison. Non ! le complot qui lui est tombé sur le coin de la tête est bien plus compliqué. Et puis surtout, il ne va pas finir sa journée du tout.
Sur le canevas d’Un Jour sans fin de Harold Ramis (1993), Brett s’apprête à revivre tous les jours la même journée, et une fois passée cette seconde surprise, il pourra s’attaquer à tous les petits détails du jour recommençant laissés ça et là par le Petit Poucet de scénariste dès les cinq premières du pilote ! Le tout en évitant de se faire tuer car les blessures de la veille sont celles du lendemain, même si le lendemain n’est autre que le même aujourd’hui qu’hier ! Armé d’un forfait sms conséquent (qui lui permettra de tenir tous les acteurs de sa journée à leurs places) et d’un téléphone portable à la batterie fatiguée, Brett trouvera-t-il le temps de souffler un peu ?
Parce que la série, elle, elle semblera vite s’essouffler, Brett passant au crible, ses amis, ses parents (vivants et morts), ses collègues, et des types louches en bas de la rue ! Las, il va vite se rendre compte que son replay quotidien peut modifier le présent !
Le terrible avantage de cette série repose paradoxalement sur son interruption aux USA quelque part entre le sixième et le septième épisode. Du coup les treize rendez-vous de la série Day Break se suffisent à eux-mêmes et disposent d’une véritable (quoique relative et précipitée) chute.
Day Break - France 4 - 20h35
Rediffusions : le jeudi 12 à 23h55 - le samedi 14 à 13h20 - le dimanche 15 à 22h15
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